Lettre ouverte,
Lettre « Ou vers », « Vers où »
À tous ceux qui respirent, en capacité de lire
Qui peuvent s’identifier, se géolocaliser ! (Ici et là)
À ceux qui colportent
Des rumeurs « de moi »
Merci de fermer la porte
Qui provoque des émois
Je suis au meilleur
Pour le meilleur de moi
Ceux qui président
Sont au bout de mes doigts
Je renvoie, le meilleur
Le meilleur de moi
Pour apporter le meilleur
Au même titre qu’à moi

Je réside sur terre
Comme tout un chacun
Accolé(e) à l’enfer
Qui en détruit plus d’un
J’incarne l’amour (sans l’adultère)
Qui alimente les chimères
Sans savoir que faire
Nous formons l’Unicité
Le masculin et le féminin
La diversité est autorisée
Aux regards des indulgents
Qui renvoient sans argent
Le bonheur existe
Pour celui qui l’accepte
La liberté est réaliste
Pour tous les adeptes

En deux temps, je refais l’humanité
Si seulement cela pouvait arriver
J’y crois, dur comme fer
L’humain est dans la précarité
Le mouvement est dans l’air
Il parviendra à celui qui espère
À condition de le vouloir
Et cela est nécessaire
La baguette magique
N’a rien de biblique
Chaque Être est Unique
Il mérite respect et dignité
J’écris, sans y revenir
À croire que je peux prédire
Que l’humain a toutes les capacités
De prévoir l’avenir, sans être contrarié

Le devenir est dans nos mains
Il rayonne sans se faire voir
Dans les actions, il reflète l’humain
« De soi » il rayonne sur le miroir
Comment aimer les autres
Si on ne s’aime pas « Soi-même »
Ainsi prône une sorte d’apôtre
Qui réside dans la race Humaine
Je pourrais allonger le texte sur des kilomètres
Faire le tour de la terre, en lettres sans décimètres
Les phrases se suivent sans délibérer
Il est temps de voir où est la priorité…
L’humain n’a d’autre adversaire que lui-même
Il peut investir pour la cause de l’évolution
Accompagner les Êtres dans l’emblème
À se dévoiler lui-même sans contradiction
La nature est dans l’essence
De l’arbre en jouissance
Pour le meilleur du paysage
L’illusion fait des ravages
Elle détruit en bombardement
Elle détonne de ses croyances
Je fredonne doucement…
La réalité est à outrance
Elle demeure dans le cœur des gens !
Elle diverge de son positionnement
Dans son regard autrement
Dans la loyauté de ses agissements
Maria Nazaré Nunes
20 Mars 2025


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